Livraison GRATUITE dès 8 000 F d'achat. Un conseil ? Appelez nous au 26.14.44
L’intérêt du bonus nutrition
L’intérêt du bonus nutrition est d’aider le consommateur à sélectionner les bons nutriments au quotidien et à relativiser quant aux valeurs énergétiques qui ne reflètent pas toujours la qualité nutritive.
En effet, 1g de sucre apporte 4kcal contre 9 kcal pour 1g de lipide, un raisonnement basé sur les kilocalories pousserait donc à opter pour des produits sucrés. Hors, la consommation de sucre dépasse en France les recommandations sanitaires et nous découvrons aujourd’hui les nombreux effets de cette surconsommation.
Ce bonus met en avant les produits riches en protéines, moins sucrés et contenant moins de graisses saturées afin d’aider le consommateur à opter pour des collations plus rassasiantes avec un impact sur leur glycémie moindre. Il s’agit ainsi également d’un outil dans la lutte contre de nombreuses pathologies métaboliques telles que le diabète de type 2 ou encore la stéatose hépatique non alcoolique.
De plus, l’étude « INCA ¹ 3 » publiée par l’ANSES ² en 2017 a montré que plus de 50% des aliments transformés consommés, en dehors des établissements de restauration, chez les français de 18 à 79 ans provenait d’aliments industriels. Ainsi il semble impératif de s’adapter à l’évolution des habitudes de consommation si l’on veut aider la population à se rapprocher des recommandations nutritionnelles en faisant les bons choix de l’achat de produits industriels.
L’impact du sucre sur la santé
Selon le ministère de la santé, en France, 40% des adultes ont une consommation de sucre supérieur aux recommandations. Pourtant le PNNS publie depuis 2001 des recommandations nutritionnelles régulièrement réévaluées. Le PNNS ³ n°4 (2019-2023) a pour objectif n°1 d’améliorer la qualité nutritionnelle des aliments. Pour cela il recommande de limiter à 10% de l’apport total journalier la consommation de sucres (hors lactose et galactose) dans la population française.
Plus stricts encore, les recommandations de l’OMS ⁴ sont quant à elles passées de 10% maximum des apports énergétiques quotidiens en 2002 à 5% en 2015 soit 25g de sucre par jour maximum pour une ration de 2000 kcal.
En 2018, le film SUGARLAND, met en scène l’expérience réalisé par Damon Gameau. Ce dernier consomme durant 2 mois l’équivalent de 40 morceaux de sucres par jour (160gr) uniquement au travers d’aliments dits ou perçus comme allégés. En 2 mois, l’Australien prend 8.5 kilos et 10 cm de tour de taille. Il développe un pré-diabète, des troubles de l’humeur et voit son foie s’engraisser. Son but était de pointer du doigt les effets néfastes d’une surconsommation de sucre sur l’organisme.
De nombreuses études scientifiques démontrent aujourd’hui qu’un régime à index glycémique (IG) bas serait, à calories égales, plus efficace qu’un régime à IG élevé pour réduire la masse grasse, contrôler le métabolisme du glucose et de l’insuline.
Aussi, à cours terme, la consommation de sucres simples ou d’aliments à IG élevé induit une hausse importante et rapide de la glycémie. Cette élévation glycémique va déclencher une production d’insuline proportionnelle et donc une instabilité de la glycémie. Elle peut être responsable de fatigue, malaise et envies de sucres dans les heures qui suivent.
Un bonus nutritionnel positif permet aux consommateurs de choisir des produits dont l’apport en protéine compense l’apport en sucres. Cela réduit donc son index glycémique afin d’assurer une glycémie plus stable et un effet satiétogène plus durable. En outre les clients Médial recherchent une perte ou une stabilisation de leur poids, la valorisation de la réduction de la masse grasse est donc dans leur intérêt.
Les protéines pour lutter contre la prise de poids
Les protéines, quant à elles, ont un rôle structural avec le renouvellement des tissus musculaires, des phanères (peau, ongles, poils), de la peau et de la matrice osseuse, endocrine, digestive, immunitaire, ainsi que le transport de l’oxygène dans l’organisme.
Il a été montré qu’un régime hyper protéiné majore la diminution des graisses, des triglycérides, du cholestérol total, limite les variations de glycémie et augmente les taux de vitamine b12 en comparaison d’un régime riche en glucides à calories égales.
Il a également été prouvé qu’une alimentation hyper protéiné associée à une augmentation du nombre de prises alimentations (6 par jour) permet de diminuer la sécrétion d’insuline en comparaison du même régime réparti sur 2 repas quotidien. Il semble donc pertinent dans cette optique de proposer des collations régulières riches en protéines et faibles en sucres en plus des 3 repas principaux quotidien. Un bonus nutrition positif assure donc aux consommateurs une collation équilibré et rassasiante en accord avec ces résultats d’étude.
Les graisses dans notre alimentation
Les lipides constituent les graisses présentes dans notre alimentation sous forme ajoutée mais aussi celle présente naturellement dans les aliments que nous consommons.
Les graisses sont indispensables au bon fonctionnement de notre organisme. Elles ont un rôle énergétique, structural (fluidité des membranes cellulaires) mais sont également
impliquées dans la synthèse des hormones stéroïdiennes ainsi que dans la régulation de nombreuses fonctions métaboliques.
Les acides gras regroupent :
- Les acides gras saturés (AGS) : on les retrouve dans la viande grasse, la charcuterie, les produits laitiers (beurre, crème…) mais également dans certaines huiles végétales comme l’huile de palme et les produits qui en dérivent (soupe déshydratées, biscuits et pâtisseries industrielles, pâtes à tartiner…).
- Les acides gras mono-insaturés (AGMI) :
-
- Oméga 9 : on les retrouve dans l’huile d’olive, les noisettes, l’avocat, les arachides,
- Les acides gras polyinsaturés (AGPI) : ces acides gras sont dits indispensables car non synthétisables par notre organisme. Ils regroupent les :
- Oméga 6 : Présents dans l’huile de pépins de raisin, de noix, de tournesol, de maïs, de sésame, les noix, le pavot, les graines de courges et de tournesol,
- Oméga 3 (ALA , EPA et DHA ⁵) : on les retrouve dans les poissons gras (saumon, maquereau, hareng, sardine, truite, anchois…), les animaux et œufs estampillés « bleu blanc cœur », les graines et huile de lin, de noix, les graines de chia, noix et l’huile de colza.
L’étude « INCA 3 » révèle que la consommation moyenne en AGS des français de 18 à 79 ans était en 2015 de 14.2% alors que l’ANSES recommande de ne pas dépasser les 12%.
Ces acides gras sont en effet consommés au détriment des AGPI puisque la consommation d’acides linoléiques (Oméga 6) était de 3.1% contre les 4% recommandés et celle d’acide alpha-linolénique (oméga 3) de 0.44% contre les 1% recommandés. Le rapport Oméga 6/3 était donc de 7 au lieu de 4 et la consommation d’Oméga 3 largement inférieur aux recommandations. Plus spécifiquement, les recommandations en Oméga 3 de type EPA et DHA sont de 500mg/jour cumulées et atteignaient dans cette étude seulement 286 mg/jour en moyenne. Les Oméga 3 ont pourtant un effet protecteur pour nos systèmes cardiovasculaires, préventifs pour de nombreuses pathologies métaboliques, sur le déclin des fonctions cognitives et le risque de dégénérescence maculaire liée à l’âge.
Pour se rapprocher de recommandations actuelles il semble donc pertinent d’orienter le consommateur vers des aliments moins riches en AGS au profil d’une augmentation de la consommation d’Oméga 3.
En intégrant cette notion au bonus nutrition Médial permet à ses consommateurs de limiter leurs apports en AGS et les encourage en parallèle à augmenter leur consommation d’aliments riches en AGPI.
L’Obésité et le surpoids en France
L’étude Obépi ⁶ parue en 2021 décrit une diminution de 2 point du surpoids en France au détriment d’une augmentation de l’Obésité qui a doublé depuis 1997. Ainsi, actuellement presque 1 français sur 2 est en situation de surpoids (30.3%) ou d’obésité (17%). Cette étude met également en avant que 42% des français souffrants d’obésité suivent ou ont suivi un traitement pour l’hypertension artérielle (HTA), 20% souffrent de diabète et 18% d’apnée du sommeil (SAOS). Ces chiffres augmentant proportionnellement au degré d’obésité.
Hors nous savons que l’obésité et le surpoids majorent le risque de développer de très nombreuses pathologies métaboliques tel qu’un diabète de type 2 (DT2), une HTA, un SAOS, de l’asthme, une stéatose hépatique non-alcoolique (NASH), des troubles hormonaux… et qu’une perte de poids même minime est bénéfique sur le plan métabolique.
Nos produits sont riches en protéines et pauvres en sucres et en AGS, ils sont donc rassasiant et une aide précieuse à la perte de poids. Ils sont en accord avec les dernières études et les dernières recommandations nutritionnelles, c’est la raison pour laquelle ils affichent des bonus nutrition positif plus ou moins important. C’est également pour cela que nos patients souhaitant perdre du poids s’adressent à nous et utilisent nos produits comme béquille.
¹Etude individuelle national des consommations alimentaires
²Agence française de sécurité sanitaire de l’alimentation, de l’environnement et du travail
³ Plan national santé
⁴ Organisme mondiale de la santé
⁵ Acide alpha-linoléique (ALA), acide eicosapentaénoïque (EPA) et acide docosahexaénoïque (DHA)
⁶ Etude transversale répétée sur la prévalence de l’obésité en France
- Inserm,
- Ligue contre l’obésité,
- PNNS,
- ANSES,
- OMS,
Etudes Obépi 2020
Enquête INCA 3 publiée en Juin 2017 par l’ANSES https://www.anses.fr/fr/system/files/NUT2014SA0234Ra.pdf
https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/19153580/ : High protein diets decrease total and abdominal fat and improve CVD risk profile in overweight and obese men and women with elevated triacylglycerol
https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/19179060/ : The effect of a low-fat, high-protein or high-carbohydrate ad libitum diet on weight loss maintenance and metabolic risk factors
https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/28601864/ Effect of a High-Protein Diet versus Standard-Protein Diet on Weight Loss and Biomarkers of Metabolic Syndrome: A Randomized Clinical Trial
https://nutritionj.biomedcentral.com/articles/10.1186/s12937-016-0141-5 Postprandial changes in cardiometabolic disease risk in young Chinese men following isocaloric high or low protein diets, stratified by either high or low meal frequency – a randomized controlled crossover trial
https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC4856550/ The Evidence for Saturated Fat and for Sugar Related to Coronary Heart Disease